Une chanson pour indiquer l'état d'esprit de la maison à l'enseigne des Partageux. Même si je n'en suis pas le signataire. Pour écouter les notes, en lisant les mots, il faut se rendre ici http://www.laurentberger.com > Le paludier > Cd La belle saison > Vous qui venez
Vous qui venez
Vous qui venez me visiter
Entrez chez moi mais les mains vides
Entrez chez moi mais les mains vides
Et le cœur plein le cœur vivant
Le cœur chagrin ou bien chantant
C'est lui que je veux héberger
C'est lui que je veux héberger
Votre venue m'est imprévue
C'est pourtant celle que j'attendais
C'est pourtant celle que j'attendais
Et j'y préparais ma maison
Et j'y préparais mes chansons
Pour que tout ici vous salue
Pour que tout ici vous salue
Nous avons tant à nous connaître
Qu'il faut nous garder de parler
Bien sûr nous sommes étrangers
Et ce d'aussi loin que remontent
Nos toutes premières rencontres
Il nous faut chaque fois renaître
Il nous faut chaque fois renaître
Nous sommes chacun dans nos âges
Et en attente des prochains
Et en attente des prochains
On peut pourtant se deviner
Nos murs sont déjà tapissés
Des vues de nos prochains voyages
Des vues de nos prochains voyages
Vous qui venez me visiter
Veillez à laisser sur le seuil
La boue séchée de vos orgueils
Nous nous croisons belle fortune
Plus chanceux que soleil et lune
Qui ne savent que s'éviter
Qui ne savent que s'éviter
Sitôt que vous repartirez
Je retrouv'rai ma solitude
Mais goûterai ma solitude
Plus légère qu'avant ne me vienne
Visiter Simon de Cyrène
Vous qui venez me visiter
Vous avez parfum d'amitié
Entrez chez moi mais les mains vides
Entrez chez moi mais les mains vides
Et le cœur plein le cœur vivant
Le cœur chagrin ou bien chantant
C'est lui que je veux héberger
C'est lui que je veux héberger
Votre venue m'est imprévue
C'est pourtant celle que j'attendais
C'est pourtant celle que j'attendais
Et j'y préparais ma maison
Et j'y préparais mes chansons
Pour que tout ici vous salue
Pour que tout ici vous salue
Nous avons tant à nous connaître
Qu'il faut nous garder de parler
Bien sûr nous sommes étrangers
Et ce d'aussi loin que remontent
Nos toutes premières rencontres
Il nous faut chaque fois renaître
Il nous faut chaque fois renaître
Nous sommes chacun dans nos âges
Et en attente des prochains
Et en attente des prochains
On peut pourtant se deviner
Nos murs sont déjà tapissés
Des vues de nos prochains voyages
Des vues de nos prochains voyages
Vous qui venez me visiter
Veillez à laisser sur le seuil
La boue séchée de vos orgueils
Nous nous croisons belle fortune
Plus chanceux que soleil et lune
Qui ne savent que s'éviter
Qui ne savent que s'éviter
Sitôt que vous repartirez
Je retrouv'rai ma solitude
Mais goûterai ma solitude
Plus légère qu'avant ne me vienne
Visiter Simon de Cyrène
Vous qui venez me visiter
Vous avez parfum d'amitié
Laurent Berger
C'est beau.
RépondreSupprimerDe clic en clic...une découverte; heu je dois dire deux découvertes.OUI le partage! En plus des mots ciselés, profonds,émouvants...une voix qui leur ressemble.
RépondreSupprimerJe vais musarder et lire les écrits "partages".
Merci
Je suis venu.
RépondreSupprimerJe reviendrai sûrement. Jolies paroles, merci.
Quand on aime...on ne compte pas les cailloux du chemin pour revenir écouter!
RépondreSupprimerPour lire les dates de concert
Pour regarder les vidéos
Pour partager le lien concernant cet artiste
j'aime les (re)découvertes
Amis, oui, il y a ainsi de belles pépites qui dorment cachées sous la fange contemporaine. De temps à autre, au gré des saisons, je glisserai ainsi un petit bijou venu d'ailleurs entre les tranches de vie de ma rédaction. Histoire de partager quelques unes de mes découvertes.
RépondreSupprimerÇa fait du bien !
RépondreSupprimerM'en vais écouter plus... en refermant doucement la porte !
:)
what...the....fuck... trop badass de se prendre pour des anonymous les cocos
RépondreSupprimer... nous dit un anonyme distingué et au franglais subtil ! Merci à lui : ]
SupprimerJe reviendrais aussi !
RépondreSupprimerDouble découverte en ce dimanche soir. Merci pour tout. Je m'abonne.
RépondreSupprimerj'apprécie beaucoup votre site
Supprimerça fait du bien
Écrire engendre une certaine frustration. On ne sait pas qui lit. Le nombre de lecteurs n'est qu'une indication qui fait plaisir. On ne sait pas ce que le lecteur a pensé. Puisqu'on trouve moins d'un commentaire pour cent lecteurs. Parfois on lit un commentaire désagréable qui te gâche une journée plus sûrement qu'un Srkozy grincheux. Et puis parfois on lit un commentaire qui redonne la pêche pour continuer vaille que vaille à écrire, à changer le monde.
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